Protagoras propose de réviser sa position. - Le Banquet (De l'amour), Explication de texte Socrate vas répondre à la question, Le Protagoras (ou Les Sophistes) est un dialogue de Platon. Protagoras reçoit dans les Dialogues, notamment dans le Théétète, un traitement différent de celui des autres sophistes. Il fait des louanges à Socrate sur sa sagesse et sa capacité à discourir, prétend vouloir discuter encore avec lui une autre fois, et lui prédit de devenir un des plus grands sages. Le lecteur a l’impression que Socrate tend des pièges qui sont ironiquement proches du type de piège de langage tendus habituellement par les sophistes. Arrivés chez Callias, Socrate et Hippocrate vont assister un curieux tableau. A travers cette extraie de texte, Socrate avec l’aide de Protagoras essayent de répondre à une question qui leur a été pausé par des interlocuteurs, sur ce qu’ils entendent par « être vaincu par le plaisir ». Explication de document : On ne sait plus trop, comme dans une bonne partie du dialogue, qui est le sophiste et qui est le philosophe. C’est son tour de prendre le tôle de questionneur. Mais Aristote pense à l’encontre du récit de Protagoras que l’intelligence n’a pas été donnée en contrepartie à la faiblesse du corps, Protagoras (Platon) Comme tout le monde est amené à s’entrainer à cette tâche (car l’enjeu est de taille, ceux qui n’acquiert pas la pudeur et le sens de la justice étant rejeté par tous), n’importe quel citoyen d’une cité s’y connait mieux en vertu que n’importe quel homme sauvage. Car les peines ne peuvent changer le passé, elles ne sont judicieuses que si elles peuvent aider à corriger l’avenir, elle joue le rôle d’un redressement. Protagoras et sa suite ne peuvent qu’accorder que ce n’est pas en tant qu’agréable qu’une telle chose est mauvaise mais par rapport à ses conséquences. Socrate se défend devant les juges, mais aussi devant toute la cité d’Athènes. On revient alors sur la discussion principale, celle concernant le statut du courage par rapport aux 4 autres vertus énumérées. Partager cet article. Tous vont vers le bien apparent, mais il n’y a que chez les courageux que le bien apparent coïncide avec le bien véritable, car ils ont une connaissance fondée de ce qui est leur bien. Socrate menace de quitter la discussion. Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Explication de texte, Hippias majeur, Platon Ce document contient 2531 mots soit 6 pages.Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Il répond aux trois chefs d'accusation déposés contre lui : corruption de la jeunesse, impiété, et introduction de nouvelles, Celui-ci trouve son origine psychologique et historique dans une interrogation fondamentale, en effet l’exigence de savoir est motivée d’abord par une interrogation, le fait de considérer que le monde ne va pas de soi. L’auteur: Platon Plusieurs sophistes sont là : Protagoras, Hippias et Prodicos. Socrate approfondit la chose. En vérité, être un bon artisan (par exemple un bon joueur de flute) et être un bon pédagogue en ce domaine sont deux choses différentes. Ce dialogue est le premier d'une série de trois (avec Le Sophiste et Le Politique), ou de quatre , si l'on compte Le Philosophe . patrimoine, Protagoras tenait le premier rôle. Il décrit l’irruption de l’erreur et du mal en tant que principe s’opposant aux dieux bons. Premièrement, si ces vertus sont différentes au point qu’elles ont des propriétés différentes, on ne devrait pas pouvoir les attribuer l’une à l’autre. Ainsi, on a sauvé l’idée qu’on ne peut aller volontairement que vers ce qui nous semble être le bien. Protagoras répond par le mythe de Prométhée. La discussion qui l'oppose à Socrate dans le dialogue révèle un chassé-croisé ironique entre les deux personnages, et l'apologie qu'il y présente de sa propre doctrine recèle la condamnation de cette doctrine et de la pratique qu'elle prétend fonder. La preuve en est que quelqu’un est jugé humble s’il avoue ne pas connaitre tel ou tel art, mais fou s’il prétend n’avoir aucun sens de la justice. Mais il refuse. Pourtant, il est évident que la sainteté est quelque chose de juste et que la justice est sainte. Si Platon a choisi le mot autarkè (« autosuffisant ») dans cette reformulation de la thèse de Protagoras, c'est pour faire écho à son emploi en République, II, 369b5-8, où c'est justement dans le fait que l'homme n'est pas autarkès, « autosuffisant », que le Socrate de Platon voit l'origine de la polis (« cité/état »), c'est-à-dire de la vie en société. Il met … Il la définissait comme toi, mais en termes différents. C'est un mythe de la création, les races mortelles vont être créées par les différents dieux. En effet, on voit certaines personnes  ignorantes et cependant courageuses. Mais elle nest pas de Platon lui-même dans la mesure où il la reprise dun célèbre sophiste, Protagoras, dans le but de la critiquer. Oui, répond Protagoras. Il concède seulement qu’il y a un lien de ressemblance entre toutes ces vertus, mais de là à les dire semblables… Socrate enchaine alors directement sur un autre argument. Cela ne suffit pas pour conclure que certains courageux sont ignorants et fous et donc pour parvenir à une contradiction. Le dialogue commence par un prologue où un jeune homme du nom d’Hippocrate, excité par la nouvelle de la venue de Protagoras à Athènes, réveille  Socrate en trombe pour lui demander de l’accompagner chez Callias où il réside pendant son séjour, afin de s’inscrire à ses cours et acquérir son savoir.Socrate prie Hippocrate de réfléchir avant de se lancer dans une telle entreprise. Socrate choisit alors un nouvel angle d’attaque. Extrait d’un dialogue entre Socrate et Protagoras écrit par Platon. Préambule : au récit et aux discours : [172a-178a] La mesure ne désigne pas ici seulement le calcul d’une longueur, comme en géométrie, mais la détermination d’une nature ou d’une essence, c’est-à-dire d’une réalité. Dire qu’on a choisit l’un plutôt que l’autre ne peut que vouloir dire qu’on a fait un choix quantitatif, c'est-à-dire qu’on a choisi un bien immédiat qui nous paraissait plus grand que le bien à venir. texte platon protagoras bonjour tout le monde, j'ai un texte à étudier, et j'ai fais l'explication je voudrais savoir si c'est juste ou si je dois rajouter des choses, voici le texte : Aller à : Navigation, rechercher oeuvres majeures : - Protagoras (Des sophistes) Pendant le chemine de la démonstration, Protagoras et Socrate se sont trouvés d’accord contre l’opinion commune sur le fait que la science n’est pas quelque chose qui soit esclave des passions ; que quand quelqu’un possède véritablement le savoir, il ne peut que diriger son action que vers ce qu’il sait être le bien. Ce n’est toutefois pas dans le Protagoras qu’il le fera mais dans le Thééthète. En effet, pour conclure ainsi il faudrait avoir également accordé que tous les hardis étaient courageux. Repost 0. les point majeurs de sa biographie: -Il est le fils d'une famille aristocratique. Enfin, la compréhension du fameux mythe de Protagoras, qui est une version du mythe de Prométhée, ne peut se faire valablement sans resituer cette présentation dans la riche histoire de ce my… Un discours gâte ou améliore l’âme dès qu’elle le reçoit. Cet extrait de dialogue nous permet de comprendre comment Socrate structure sa réflexion grâce à son dialogue avec Protagoras. Être la mesure de quelque chose, c’est déterminer ce qu’est cette chose. Protagoras, Platon : mythe de l'origine et de la fonction du politique. D’autre part, Protagoras avait accordé que les courageux étaient hardis. « Il fut jadis un temps où les dieux existaient, mais non les espèces mortelles. Protagoras finit par accepter à contrecœur la façon de discourir de Socrate car Socrate a admis ne rien y comprendre aux longs dialogues, alors que Protagoras se refuse d’admettre qu’il soit inférieur à Socrate pour les dialogues de courtes répliques. Ceux qui se lancent hardiment à la bataille à cheval, n’est-ce pas plutôt ceux qui ont appris à monter ? Platon Protagoras [ou les Sophistes; genre démonstratif] Traduction, notices et notes par Émile Chambry La Bibliothèque électronique du Québec Collection Philosophie Volume 10 : version 1.0 2 . Pour les articles homonymes, voir Protagoras (homonymie). 2) Enfin, les personnes réputées comme ayant été parmi les plus sages comme Périclès n’ont visiblement pas transmis leurs sagesse à leurs enfants, chose qu’il est concevable qu’il n’eut pas voulu si cela était possible. Résumé. On va donc voir la manière dont Platon interprète cette citation pour voir ensuite la manière dont il en vient à la critiquer. Les choses ne sont pas si simples. Protagoras choisit de prendre le rôle du questionneur. Les deux personnages sont présentés comme amoureux de la philosophie et de Socrate, au point de s’en faire des imitations et de s’opposer à toute autre affaire humaine. Au nom d’Hippocrate, Socrate demande à Protagoras quel profession il exerce et ce qu’on peut retirer de son apprentissage. C’est un terme générique qui peut regrouper aussi bien des courageux que des fous. On trouve une première fois le mythe de Prométhée dans la Théogonie d'Hésiode, Explication : Le bien immédiat procuré par l’objet choisi lui a paru plus grand simplement parce qu’il était plus proche, comme notre œil peut être trompé en croyant un objet grand simplement parce qu’il est proche. Et ce que le vulgaire appelle « être vaincu par le plaisir », ce n’est en fait qu’ignorance. Mais Alcibiade lui reproche de vouloir faire perdre le fil des arguments aux spectateurs. Le Protagoras (ou Les Sophistes) est un dialogue de Platon. Et, dans le domaine de la vertu politique, Protagoras prétend être un de ces rares pédagogues. -En -387 il fonde sa propre école, l'Académie. Socrate prétend qu’il est sceptique sur ce point car il avait toujours  pensé jusque là que la vertu politique ne pouvait s’enseigner. Car parler de poésie cela ressemble aux discussions dans les banquets de gens médiocres (des discussions de comptoir, dirions-nous aujourd’hui). Il dit en effet, n’est-ce pas, que l’homme est la mesure de toutes choses, de l’existence de … Pour preuve : les châtiments qu’on donne aux injustes pour les inciter à se corriger. Quand le temps que le destin avait Mais Protagoras refuse d’accorder cela. Il se lance dans un long discours composé d’exemple de biens qui sont utiles aux animaux mais pas aux hommes, ou à certains animaux au détriment des autres… Cette longue énumération casse le cours de l’argumentation. Si les courageux vont au devant d’autres objets que ceux qui ne le sont pas, ce ne peut être parce que les uns iraient au devant de ce qui leur semble mauvais (objet de crainte ou de terreur) au contraire des autres. Sous prétexte que le thème général de la discussion précédente était la vertu, et qu’il connait un poème de Simonide qui en traite, il détourne la conversation pour parler d’une contradiction qu’il est fier d’avoir détectée dans un poème de Simonide. Il suit des remarques de Socrate, Protagoras et leurs témoins sur la façon dont le discours doit se dérouler. Tout ceci, Protagoras ne le dit pas avec un vocabulaire technique de logicien mais à l’aide d’un autre exemple de même structure logique que le premier. Certaines choses agréables peuvent être mauvaises tout comme certaines choses désagréables peuvent être bonnes. Zeus répond que, pour ce qui est de la justice et de la pudeur, tous les hommes doivent les recevoir, car une société ne saurait subsister si seuls certains d’entre eux les possèdent. Postérité. Dans cette partie du dialogue et sa suite, Platon va faire une description caricaturale ridicule des deux derniers sophistes. Socrate veut continuer sur sa lancée et commence un autre argument où il semble qu’il veuille aller dans la direction de l’identification du bien et de l’utile, en vue de s’en servir pour prouver l’unité des vertus. Ce dialogue se déroule probablement entre -432 et -430, avant que n’éclate la guerre du Péloponnèse. Prométhée et Epiméthée (dont le nom signifie l'étourdi) doivent répartir les ressources … Socrate a montré que les gens hardis et ignorants étaient des fous. Alors quel type de savoir rapportera-t-il des cours de Protagoras ? Plusieurs répond Protagoras. « Lhomme est la mesure de toute chose » a trois significations quil faut essayer de tenir ensemble. Il se dit incapable de suivre de long discours comme ceux de Protagoras, faute de mémoire suffisante. D'autres experts ont vivement contesté cette date et une analyse par ordinateur l'a placé le plus proche stylistiquement du Banquet, et ainsi un dialogue de la maturité de Platon. Ce document a été mis à jour le 06/05/2015 Ayant été chargé par les dieux de répartir les atouts (griffes, fourrures, etc) entre les animaux pour assurer leurs subsistance, Epiméthée avait oublié d’attribuer de tels atouts à l’homme. Protagoras pense que la vertu est une chose unique. Socrate accepte de répondre, ce qui produit une longue digression dans le dialogue. Les deux termes ne sont pas interchangeables car « hardi » renvoie à  une propension à se lancer dans le danger, que l’origine de cette propension soit une connaissance (savoir monter à cheval) ou une émotion (colère, fureur). Pour connaitre en vérité si un objet est grand ou pas, il faut le mesurer grâce à une science (mathématique). - Gorgias (De la rhétorique) Protagoras, un petit peu gêné au départ d’avoir perdu la bataille, finit par reconnaître sa défaite de bon cœur (et en profite pour louer sa propre capacité à recevoir la défaite quand il le faut). « Lhomme est la mesure de toute chose » est une citation de Platon dans son Théétète. On a montré que c’était impossible. Il ressemble de ce point de vue à Gorgias qui a donné son nom à un autre dialogue de Platon, mais est absent de celui-ci. époque:-428 -347av.JC Le Protagoras (ou Les Sophistes) est un dialogue de Platon. 5Analyser la pensée de Protagoras à partir dun texte écrit par Platon soulève, bien entendu, de multiples difficultés. Et ce ne sont pas nécessairement les fils des sages qui sont sages, mais ceux qui ont eu la chance d’être mieux disposés à la naissance. Car n’importe quel art permet de faire de beaux discours sur l’objet sur lequel il porte. Ce mythe est rapporté par Platon, mais ce n’est pas un mythe platonicien, ici c’est Protagoras qui parle. Toute société est impossible entre eux à cause de leur propre férocité les uns envers les autres. Mais de beaux discours sur quoi lui demande alors Socrate ? Sans rentrer dans la catégorie des « Premiers Dialogues », ce texte, d'après plusieurs savants, fait néanmoins partie des œuvres de jeunesse du philosophe : ils pensent qu'il fut probablement composé à la suite du Lachès, du Charmide et du Lysis. Protagoras, à l’opposé de l’aristocrate Platon – dont Socrate n’est ici que le prête-nom –, défend pour sa part la thèse démocratique : il convient d’en instruire le plus grand nombre, pour que la justice et la pudeur puisse régner dans les cités – le fonds de commerce des sophistes est ainsi, non seulement préservé, mais même étendu –. C’est une affaire collective. Les choses sont dites agréables car elles procurent du plaisir. Mais Aristote pense à l’encontre du récit de Protagoras que l’intelligence n’a pas été donnée en contrepartie à la faiblesse du corps de l’homme mais que le corps de l’homme est la forme organique prise par l’intelligence, même que la nature a imaginée pour la main est adaptée à cette fonction. Hippias est un sophiste prétentieux qui enseigne diverses sciences, prétend tout connaitre mieux que les autres et ne veut pas rater d’occasion de montrer son savoir. Hermès qui devait apporter la justice et la pudeur aux hommes demande à Zeus s’il doit les partager et donner une partie seulement à chaque homme, tout comme les arts leurs avaient été distribués (certains seulement ayant reçus l’art médical pour toute la communauté, etc.). Quelqu’un qui se jetterait dans le danger sans la connaissance préalable serait un fou plutôt qu’un courageux, si bien que science et courage semblent s’identifier contrairement à ce qu’en dit Protagoras. Il suit une réfutation par Protagoras de la démonstration de Platon. Protagoras répond qu’il est sophiste, que cette profession est vieille mais que les anciens sophistes cachaient leur profession sous une autre, en raison de sa mauvaise image auprès du public. Quand on dit que certaines choses agréables sont mauvaises est-ce en tant qu’elles procurent du plaisir qu’elles sont dites mauvaises, ou pour leurs conséquences néfastes comme quand un met agréable peut être mauvais pour la santé ? Maintenant, Socrate joue sur l’opposition entre apparence et vérité, entre une opinion non fondée et un savoir. Prométhée, pour compenser l’erreur d’Epiméthée, va voler le feu et les arts à Héphaïstos et Athéna et les offrent aux hommes. -Disciple de Socrate dont la mort injuste (-399) le marqua profondément. Le bien et l’agréable sont deux mots à peu près synonyme. » Socrate demande si un être courageux est hardi, c'est-à-dire s’il se lance facilement au devant de ce qui est craint. Mais, continue Protagoras, même si ce germe de justice est naturel en tout homme, cela n’empêche pas que la justice soit quelque chose qui puisse s’améliorer par l’étude et l’habitude. La discussion porte notamment sur la possibilité d'enseigner la vertu. Ainsi, l’intention d’avancer ensemble est primordiale. Ce texte d’Aristote dans sa partie soulignée répond au texte précédent extrait du Protagoras de Platon qui rapporte précisément les idées de Protagoras : Aristote et le récit mythique de Protagoras soulignent la frappante nudité de l’homme en regard du reste du monde animal. Étude de texte: Platon,Protagoras « le savoir peut se vendre à quiconque peut payer » Platon dénonce ce préjugé des sophistes de son époque, car pour lui l enseignement payant est dangereux pour l âme . - Cratyle (Du langage) Cette défense se déroule en trois parties, ayant toutes un lien direct avec la mort. Frédérique Ildefonsse, GF p.84-87. Socrate y oppose une vision du logos comme dialogue dépouillé de fioritures, où questionneur et répondant échangent de courtes répliques et avancent en commun dans l’argumentation. 321c) de Platon : Il fut jadis un temps où les dieux existaient, mais non les espèces mortelles. Ils ont du alors expliquer pourquoi certains gens du commun disent alors, à certaines occasions, avoir choisi quelque chose qui leur semblait mauvais (boisson, met agréable, l’amour) parce qu’ils ont été « vaincu par le plaisir ». Il soutient à présent que 4 de ces vertus se ressemblent assez mais une seule, le courage, diffère grandement des autres. Il semble bien que ce que tu dis de la science n’est pas chose banale [152a] ; c’est ce qu’en disait Protagoras lui-même. PROLOGUE Cette explication de texte ne comprend que le commentaire de la deuxième partie du mythe de Protagoras. Biomorphisme. Explication : Ce texte d’Aristote dans sa partie soulignée répond au texte précédent extrait du Protagoras de Platon qui rapporte précisément les idées de Protagoras : Aristote et le récit mythique de Protagoras soulignent la frappante nudité de l’homme en regard du reste du monde animal. Que prétend être Protagoras ? Il souhaite revenir sur la discussion principale. Le Protagoras est un dialogue de jeunesse, c’est à dire un dialogue qui a été rédigé juste après la mort de Socrate (399) vraisemblablement entre 399 et 390. 5 Note sur cette édition Considéré comme un dialogue de jeunesse (période ~399 - ~390), le Protagoras met en présence Socrate et l'un des plus célèbres Sophistes grecs. Mais Hippocrate ne désire pas devenir sophiste. Il est un sophiste qui a un sens moral puisque, même s’il loue la puissance qu’apporte la sophistique, il tient à se démarquer de ceux qui font un usage moralement réprimandable de son savoir. Ainsi le courage est une forme de sagesse, de savoir, et la thèse de Socrate triomphe. Le Protagoras est un des dialogues platoniciens où Platon dénonce les prétentions de la sophistique à pouvoir enseigner la vertu aux athéniens contre salaire, au même titre que lEuthydème, l Hippias ou le Gorgias. Sans rentrer dans la catégorie des « Premiers Dialogues », ce texte, d'après plusieurs savants, fait néanmoins partie des œuvres de jeunesse du philosophe : ils pensent qu'il fut probablement composé à la suite du Lachès, du Charmide et du Lysis. En effet, on réfléchit à deux fois avant de confier son corps à un médecin qu’on ne connait pas. Approches sensibles et conceptuelles des formes du vivant. De même pour une chose désagréable mais qui qu’on dit bonne car elle a de bonnes conséquences, comme un remède au goût amer (un traitement médical par cautérisation dit Socrate). La discussion revient sur la question de l’unité des 5 vertus citées ci-dessus. Protagoras se range finalement du côté de Socrate pour identifier le plaisir et le bien d’un côté, la douleur et le mal de l’autre. On comprend que deux visions du discours s’affrontent. modifier - modifier le code - modifier Wikidata Le Théétète est un dialogue de Platon sur la science et sa définition. En faisant un parallèle entre les marchands de nourritures » terrestres » et les sophistes , … Protagoras, originaire de la cité d’Abdère, était un sophiste particulièrement réputé. Ce dernier a été disciple de Platon pendant plus de vingt ans, il a prit ensuite une distance critique vis-à-vis des thèses de son maître et a fondé sa propre école. C’est une condition d’existence de la cité. Télécharger le document Explication de texte, Hippias majeur, Platon. Prodicos est un discoureur habile mais dont les remarques restent toujours finalement superficielles, occupé qu’il est en permanence à titiller sur les subtiles nuances qui existent entre les termes qui semblent synonymes aux usagers communs du langage. S'inscrire à la newsletter. Cela leur permit de fonder une société et de subsister. (C’est assez amusant de lire ça lorsque nous, lecteurs de Platon, ne pouvant avoir accès à sa pensée et à celle de Socrate que grâce à la philologie). Introduction : Explication : Ce texte d’Aristote dans sa partie soulignée répond au texte précédent extrait du Protagoras de Platon qui rapporte précisément les idées de Protagoras : Aristote et le récit mythique de Protagoras soulignent la frappante nudité de l’homme en regard du reste du monde animal. Platon, Protagoras, 320c-323a Trad. Aristodéme n’est au départ pas invité car il n’est pas un proche d’Agathon, qui vit au milieu des rhéteurs et des sophistes, Apologie de Socrate Dans l’Apologie de Socrate (Πλάτωνος Ἀπολογία Σωκράτους, sous-titrée Genre éthiqueéthique ) Platon rapporte les plaidoyers de Socrate lors de son procès qui déboucha sur sa condamnation à mort. Seul Protagoras fait figure dans le dialogue d’une personne respectable. Le mythe de Prométhée recèle un symbolisme profond. Voici donc le résumé de la première partie du mythe. Un sophiste. Dans cet extrait, Socrate oppose sa conception du bonheur à celle de Calliclès. La vertu est d’ailleurs en permanence enseignée par la société à tous les citoyens : par les réprimandes et louanges des parents sur les diverses actions des enfants, par l’éducation à l’école, l’éducation musicale, la connaissance des poètes… Si bien qu’on ne peut véritablement désigner une personne unique (son père ou sa mère) comme étant celle qui nous a enseigné la vertu, de la même manière qu’on ne peut dire qui nous a appris à parler. type de philosophie: Rationalisme, Idéalisme Deuxièmement, si chaque chose n’a qu’un seul contraire, alors justice et sagesse devrait être identiques puisque Socrate arrive à faire admettre à Protagoras que le contraire de l’une comme de l’autre est la folie.
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